police étrangère
Dans le monde complexe d'aujourd'hui, la Suisse défend une politique étrangère claire et tournée vers l'avenir, caractérisée par l'ouverture et le libéralisme.
Julien Reich comprend que nos relations avec les autres pays sont essentielles et sa vision comprend les principes clés suivants :
- Libre-échange responsable : L'accès aux marchés est important, mais pas à n'importe quel prix. Nous nous efforçons d'obtenir des accords qui non seulement favorisent le commerce, mais respectent également les réglementations environnementales et les droits de l'homme Neutralité avec engagement : Notre neutralité nous oblige à faire preuve de retenue, mais pas d'inaction. Nous pouvons et devons agir en tant que médiateurs dans les conflits et fournir une aide humanitaire là où elle est nécessaire Europe autodéterminée : Nos relations avec l'UE sont vitales, mais elles doivent respecter nos principes de démocratie directe. La voie bilatérale est la solution miracle et tout ajustement doit être dans l'intérêt des deux parties Travailler ensemble avec un sens des proportions : La coopération avec des organisations telles que l'OTAN n'est pas exclue, mais elle doit respecter nos principes fondamentaux.
La vision de la politique étrangère de Julien Reich en est une qui promeut l'équilibre, la responsabilité et la clarté. Cela garantit que nous réussissons à la fois sur le marché mondial et sur la scène internationale sans compromettre nos valeurs et nos traditions uniques. C'est une vision qui vise à positionner la Suisse comme une force de premier plan pour la stabilité, l'humanité et le progrès dans un monde en constante évolution.
Maintenir les accords bilatéraux comme solution miracle aux relations avec l'UE
Le Conseil fédéral examine actuellement les conditions actuelles et les conséquences factuelles et juridiques de toutes les orientations politiques européennes possibles et mène une large consultation.
Les mesures d'accompagnement doivent être complètement supprimées dans la mesure où elles vont au-delà de ce qui est compatible avec les libertés fondamentales de l'UE. Les réglementations illibérales et protectionnistes du marché du travail doivent être remplacées par des réglementations plus proportionnées (conformes à l'UE) (par exemple, des options de sanctions plus sévères pour les entreprises délinquantes au lieu d'une protection salariale excessive).
Les Jeunes libéraux considèrent les accords bilatéraux existants comme la solution miracle et l'accès au marché intérieur de l'UE est fondamental pour le développement économique et social de la Suisse. Celle-ci doit être préservée à tout prix sans porter atteinte à l'autodétermination démocratique directe de la Suisse.
La poursuite de la relation instable avec l'UE n'est pas une option viable du point de vue des Jeunes libéraux. Le Conseil fédéral doit recevoir le mandat de négociation d'analyser toutes les voies politiques européennes politiquement et factuellement possibles en Suisse et d'en montrer les conséquences et les conditions préalables. Une large consultation doit être menée.
Les mesures d'accompagnement (période d'enregistrement, obligation de caution, mécanismes de contrôle dans les secteurs économiques dits à risques, etc.) violent largement les principes de l'UE (libre-échange, libre circulation des personnes). Les mesures d'accompagnement sont illibérales - elles servent principalement les intérêts des syndicats suisses, qui (également pour des raisons monétaires) faussent le marché en raison de leur pouvoir élargi de conclure des conventions collectives de travail. De nombreuses autres mesures protectionnistes telles que l'obligation d'enregistrement et de dépôt entraînent des restrictions massives à l'égalité de circulation des personnes dans le milieu professionnel par rapport à nos partenaires commerciaux de l'UE. Ils constituent également la plus grande pierre d'achoppement dans les négociations sur le développement ultérieur des accords bilatéraux et devraient être supprimés dans la mesure où ils vont au-delà de ce qui est compatible avec les libertés fondamentales de l'UE. Des efforts devraient être faits pour développer davantage les accords bilatéraux, dans la mesure où cela est compatible avec les exigences du présent document.
Maintien de l'accord Schengen-Dublin
Dans le cadre de l'accord de Schengen, les Jeunes libéraux rejettent toute forme d'ingérence dans les libertés individuelles fondamentales. Schengen-Dublin est très important pour la Suisse en termes de politique de sécurité et d'asile. L'accord est à obtenir. Des lois plus strictes sur les armes à feu pour les civils dans le cadre de l'accord de Schengen sont rejetées.
Poursuite du développement des règles bilatérales et institutionnelles avec l'UE
- L'adhésion à l'UE est rejetée L'adoption automatique du droit de l'UE dans le droit suisse est rejetée dans tous les accords existants et futurs avec l'UE L'adoption de la directive sur les citoyens de l'UE est intégralement rejetée Il n'y a pas de nouvelles clauses de guillotine dans les accords existants ou nouveaux avec de L'évaluation et l'interprétation du droit suisse sont réservées exclusivement au Tribunal fédéral (y compris les droits adoptés dynamiquement de tout accord avec l'UE) permettent à la CJUE de procéder à une interprétation non contraignante. Le règlement des différends en cas d'opinions juridiques divergentes est effectué par une instance d'arbitrage équilibrée et paritaire.Les mesures unilatérales discriminatoires sont contractuellement interdites.
Le souverain doit toujours avoir le dernier mot lors de l'adoption du droit de l'UE. La cession automatique des droits est rejetée. Le pouvoir de décision en démocratie directe doit être maintenu au regard de la réglementation applicable en Suisse. Les décisions politiques ou les divergences dans la mise en œuvre des adaptations du droit de l'UE ne doivent pas entraîner la résiliation automatique des accords bilatéraux. Une résiliation du contrat ne peut intervenir que par une décision expresse d'une partie contractante.
Comme il est d'usage pour les accords bilatéraux entre partenaires égaux, les problèmes d'interprétation doivent être résolus par une instance d'arbitrage composée d'un nombre égal de représentants de l'UE et de la Suisse. Nous rejetons une interprétation ou l'intervention préalable obligatoire de la Cour européenne de justice ou d'autres organes et commissions de l'UE en tant que seule autorité de jugement compétente. En raison du mécanisme de règlement des différends, la Suisse ne doit être soumise à aucune réglementation étrangère. Le Tribunal fédéral reste seul compétent pour l'interprétation du droit suisse.
Nous rejetons les pouvoirs unilatéraux de l'UE d'imposer des mesures pénales ou coercitives (mesures discriminatoires) à l'encontre de la Suisse. Aucun organe de contrôle ne doit être établi pour contrôler en permanence le respect des accords bilatéraux. Le Jungfreisinn condamne fermement les mesures non pertinentes et incohérentes de l'UE contre la Suisse (par exemple, la privation de l'équivalence boursière, l'exclusion d'Erasmus, l'exclusion d'Horizon Europe). Ce type de négociation ne correspond pas à une relation d'égal à égal entre partenaires contractuels. L'adoption de la directive sur les citoyens de l'Union européenne est rejetée. Les contributions financières à l'UE qui dépassent le milliard (volontaire) de cohésion sont rejetées.